Union pour le Renouveau
de Versailles




Nouvelles réponses d’Henry de Lesquen, Président de l’U.R.V.,
adressées à Jean-Baptiste Giraud,
directeur de la rédaction de Versailles Plus,
directeur de campagne de François de Mazières

Le mensuel Versailles Plus, dirigé par Jean-Baptiste Giraud, a publié dans son numéro de mars 2008, distribué quelques jours avant le premier tour des élections municipales, pas moins de cinq articles où il attaquait Henry de Lesquen et la liste de l’U.R.V.. Rappelons que Versailles Plus est une feuille de propagande de François de Mazières déguisée en organe d’information (voir nos communiqués du 1er mars 2008 et du 6 mars 2008).
Bien que ces articles tendancieux eussent tous mérité une réponse, Henry de Lesquen s’est borné à en envoyer deux, que l’on lira ci-dessous.

Première réponse
M. Jean-Baptiste Giraud a cru bon de consacrer tout un article de votre numéro de mars 2008 à un déjeuner qu’il avait pris chez moi le 8 janvier... Dans ce texte, qu’il a intitulé aimablement “Lesquen mesquin”, sans doute pour me remercier de mon invitation, tout est faux, tout est inventé... sauf le fait que mon épouse est une excellente cuisinière. Celle-ci, et mon fils Roland, qui était également présent, sont témoins de ce que je n’ai jamais tenu les propos qui me sont prêtés par M. Giraud. En particulier, je ne lui ai certes jamais demandé d’être candidat sur la liste de l’U.R.V. ! Du reste, j’ai dit fort peu de choses au cours de cet entretien. Je me suis contenté d’écouter mon invité discourir longuement de ses expériences et de ses projets, ainsi que de son analyse de la situation politique versaillaise. J’en suis reconnaissant à M. Giraud, car les informations qu’il m’a données ce jour-là nous ont été précieuses quand nous avons dû rédiger le communiqué qui lui a tant déplu.

M. Giraud annonce qu’il va déposer “deux plaintes en diffamation” (pourquoi deux ?). Je les attends de pied ferme ! Toutes les informations qui figuraient dans notre communiqué du 1er mars 2008 étaient forcément exactes, puisque je les tenais de la bouche-même de M. Giraud. En conséquence, si M. Giraud engageait réellement une action judiciaire contre moi, je lui réclamerais d’importants dommages-intérêts pour procédure abusive et je le poursuivrais pour dénonciation calomnieuse.

Seconde réponse
Pour répondre à une première mise au point que je vous avais adressée, vous avez cru nécessaire de publier, dans le numéro de votre publication daté de mars 2008, quelques morceaux choisis tirés des procès-verbaux des séances du conseil municipal de Versailles, qui sont censés, selon vous, démontrer que je n’aurais pas respecté la dignité des débats, malgré mes affirmations. Vous vous êtes bien gardé, évidemment, de reproduire les innombrables insultes dont nous avons été gratifié pendant sept ans. J’observe, cependant, que vos citations, bien qu’elles soient incomplètes et sorties de leur contexte, établissent, au contraire, que j’avais parfaitement raison d’écrire : “Nous n’avons jamais lancé d’attaques personnelles, alors que nous n’avons cessé d’en subir, et des plus grossières, ce qui nous a parfois obligés à répliquer sur le même ton.” Autrement dit, nous ne nous laissons pas marcher sur les pieds.


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