Réponse d’Henry de Lesquen, Président de l’U.R.V.,
adressée à Jean-Baptiste Giraud,
directeur de la rédaction de Versailles Plus,
directeur de campagne de François de Mazières
Je ne suis pas surpris, mais quand même consterné, de la manière dont M. Jean-Baptiste Giraud
a prétendu rendre compte, dans le numéro de votre publication daté de février 2008 , de l’action que
j’avais menée au conseil municipal, depuis sept ans, avec mes collègues de l’Union pour le Renouveau
de Versailles. Les affirmations de M. Giraud sont contraires à toute vérité.
Contrairement
à ce qu’il a écrit, j’ai toujours
veillé à respecter la dignité des débats du
conseil
municipal, ainsi que mes collègues de l’U.R.V., alors que
nous avons sans cesse été injuriés par
certains membres de la majorité municipale.
Nous
n’avons fait que des critiques politiques. Nous n’avons
jamais lancé d’attaques personnelles,
alors que nous n’avons cessé d’en subir, et des plus
grossières, ce qui nous a parfois obligés à
répliquer sur le même ton.
Les critiques politiques que nous faisons ne sont inspirées que par l’amour de notre Ville et par la
volonté de servir le bien commun des Versaillais. Je n’ai pas la moindre haine dans mon cœur et je
suis scandalisé que M. Giraud m’ait attribué un sentiment aussi bas. Du reste, en lisant l’article de
M. Giraud, vos lecteurs ont certainement compris de quel côté pouvait être la haine.
M. Giraud est en droit de ne pas apprécier nos tracts,
puisqu’il a décidé de soutenir un autre
candidat, et j’ai bien noté qu’il avait une
piètre opinion de notre stratégie politique.
J’invite les
Versaillais à lire ce que nous avons écrit, pour se faire
leur propre jugement. Ils verront ce qu’il faut
penser des “analyses” de M. Giraud.
Enfin, je conteste avoir jamais tenu les propos outranciers que M. Giraud m’a prêtés. Tous ceux
qui me connaissent, qui me lisent ou qui m’écoutent, savent pertinemment que je ne m’exprime pas
dans ce registre-là.
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