Union pour le Renouveau
de Versailles




Réponse à Etienne Pinte


Dans son éditorial de mai 2004, le maire actuel s’en est pris aux élus de l’U.R.V. dans des termes que nous ne pouvons laisser sans réplique.

1) Les élus de l’U.R.V., que l’on veut faire passer pour des auteurs d’attaques personnelles, en sont, en réalité, les victimes et ne font, pour leur part, que des critiques politiques.

2) Nous ne nous sommes jamais livrés à de quelconques “menaces vis-à-vis du personnel communal”. Du reste, l’opposition n’exerce aucune autorité sur les agents municipaux.

3) L’U.R.V. est parfaitement indépendante des partis politiques. Profondément attachée à la démocratie, elle refuse tous les extrémismes. Quand on feint d’y reconnaître “la droite la plus extrême”, on offense, à travers elle, les Versaillais qui lui font confiance.

4) L’U.R.V. n’a contesté juridiquement que trois délibérations, en trois ans, sur un total de 769, et non cinq... Et, contrairement aux affirmations du maire, l’U.R.V. n’a perdu aucun de ces trois procès, qui sont toujours en cours.

Alors que l’U.R.V., pour sa part, n’a rien dépensé dans ces procédures, E. Pinte affirme qu’elles auraient coûté 80.000 EUR à la Ville : si tel est le cas, cela peut amener tout au plus à s’interroger sur la gestion des deniers publics, mais ne permet pas de conclure qu’il faille ôter aux citoyens le droit d’ester en justice...

5) Je n’ai, enfin, rien à retrancher à la tribune libre que j’ai consacrée au tragique assassinat du commerçant de Porchefontaine. La réaction virulente d’E. Pinte montre que j’avais vu juste, lorsque j’avais dénoncé les conséquences des idées socialisantes qui nient la responsabilité de l’homme, en soulignant que l’auteur du coup mortel avait déjà été interpellé 90 fois. Nulle trace de “haine”, et encore moins de “racisme”, dans mes propos.

Henry de Lesquen
conseiller municipal de Versailles
président du groupe U.R.V..


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