Versailles, le 19 décembre 2007
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Élections
municipales 2008.
Première victoire de l’U.R.V. :
Pinte dévisse !
Etienne Pinte proclamait depuis un an
qu’il serait candidat à sa propre succession. Mais
il a fini par se rendre à l’évidence. Le
cheval recule devant l’obstacle, quand il voit qu’il
est infranchissable... Pour éviter une défaite
humiliante, M. Pinte a donc tiré sa
révérence, le 14 décembre. Cette
dérobade piteuse du maire sortant est une première
victoire de l’U.R.V. : grâce à l’action
offensive qu’elle conduit depuis sept ans, elle a
déjà réussi à libérer la Ville
d’un personnage particulièrement
néfaste.
Devys, c’est Pinte en pire
Après avoir obtenu le départ de Pinte,
l’U.R.V. entend maintenant débarrasser Versailles de
la clique des politiciens qui, avec Pinte, ont été
coresponsables de la politique calamiteuse qu'il a mise en
œuvre pendant douze ans.
M. Pinte a choisi son adjoint aux finances, Bertrand Devys, avec
qui il se dit "en symbiose", pour diriger la liste de son
parti, en lui demandant de “maintenir le cap”
(Le Parisien-Yvelines du 15 décembre 2007, page I).
Devys, c’est Pinte en pire. Il est encore plus
incompétent que son maître et son nom est apparu
dans la scandaleuse affaire des marchés truqués des
lycées de l’Ile-de-France : ainsi que la presse
l’a révélé, il a reçu une mallette remplie d'argent sale (Le
Monde du 25 juillet 2001, page 13).
L’adjoint de Pinte à la culture, François de
Mazières, issu du même parti que Pinte et Devys, est
un personnage falot et sans envergure qui est resté
pendant douze ans dans l’ombre d’Etienne Pinte, en
courbant l’échine, sans jamais oser élever la
voix. Il est comique que ce second candidat pintiste
prétende aujourd’hui voler de ses propres ailes et
incarner une autre politique, alors qu’il a toujours
voté toutes les délibérations
présentées par Pinte au conseil municipal, sans
aucune exception et sans jamais protester.
M. Pinte a déclaré à son propos :
“J’ai choisi François de Mazières il
y a treize ans. Il a toujours été d’accord
avec mes orientations. Je me sens trahi par lui.”
(Le Parisien-Yvelines du 14 décembre 2007, page
IV). Mazières s’imagine apparemment qu’il
suffit de trahir son maître pour se refaire une
virginité politique. Ce n’est pas sérieux. Ce
félon falot n’est pas fiable.
Blanc bonnet et bonnet blanc
Devys, ce politicien cynique, ne vaut évidemment pas
mieux. A tous égards, on peut affirmer de ces deux
camarades de parti que Devys et Mazières, c’est
blanc bonnet et bonnet blanc. Les Versaillais ne seront pas dupes
de ces ridicules manœuvres de diversion orchestrées
par des hommes de parti sans scrupules. Les deux listes
pintistes, celle de Devys et celle de Mazières,
fusionneront certainement au second tour des élections
municipales, pour tenter de garder la Ville sous la férule
de leur parti. Du reste, chacun des deux compères a
proposé à l'autre de venir sur sa liste (Le
Parisien-Yvelines du 18 décembre 2007, page III) !
Face aux coups tordus des deux candidats pintistes, la liste
de l’U.R.V. conduite par Henry de Lesquen est la seule
à respecter les électeurs versaillais. Elle est la
seule à pouvoir rétablir la démocratie
à Versailles pour assurer le Renouveau de la
Ville.
L'Union pour le Renouveau de Versailles est un
mouvement local démocratique et républicain
“divers droite”, indépendant des partis
politiques. Créé en septembre 2000, l’U.R.V.
a obtenu six mois plus tard 26 % des voix des Versaillais aux
élections de mars 2001. Depuis six ans, elle
prépare activement l'alternance en développant son projet de Renouveau. Henry de Lesquen, son président, a
présenté sa candidature à la mairie de
Versailles le 14 novembre 2007.
Courrier : Campagne Lesquen - B.P. 463 - 78004
VERSAILLES CEDEX
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janvier).
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