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Une mise au Point bien utile

Les magazines nationaux (Le Point, L’Express, Le Nouvel Observateur...) font régulièrement des éditions spéciales sur Versailles, diffusées uniquement dans notre Ville, pour assurer leur promotion. Ils concourent simultanément, dans la pratique, à celle du maire en place, puisqu’ils trouvent commodes de s’appuyer sur la direction de la communication de la mairie pour constituer leurs dossiers...

C’est ainsi que Le Point a publié le 14 novembre 2003 un “Spécial Versailles” sous-titré : “Etienne Pinte au banc d’essai”. Bien qu’il soit plutôt hagiographique, dans l’ensemble, l’article intitulé “Politoscopie d’Etienne Pinte” donne quand même des précisions fort instructives sur les véritables orientations politiques du maire actuel. Les quelques lignes que nous reproduisons ci-dessous devraient ouvrir les yeux des derniers Versaillais qui n’ont pas encore voulu admettre la triste réalité dénoncée par l’U.R.V. : Versailles, ville de droite, a un maire de gauche, car l’étiquette d’un parti peut être un camouflage et ne saurait suffire, en tout cas, à situer les positions d’un élu dans le paysage politique.


Le Point - Spécial Versailles- 14 novembre 2003
“Politoscopie d’Etienne Pinte” (extrait)

CARRIÈRE

Décalée

Il vote la dépénalisation de l’avortement et l’abolition de la peine de mort. (...)

Marginale

Les choix d’Etienne Pinte, ajoutés à un séguinisme revendiqué, ne collent pas à l’image de la droite classique. Le maire de Versailles n’a jamais vraiment eu sa place dans ses propres rangs. Lors des municipales de 2001, il a dû affronter une liste “divers droite” conduite par Henry de Lesquen. Président du Club de l’Horloge, ce dernier fustigeait une gestion “laxiste” de la ville, notamment en matière de sécurité. Plus récemment, il accusait Etienne Pinte (via son site Internet Voix des Français-Renaissance 95) de se faire l’avocat du “lobby de la délinquance immigrée” auprès de Nicolas Sarkozy, sur la question de la double peine. Parfois traité de “gauchiste” par des députés de son propre parti, il est aussi observé avec circonspection, voire curiosité, par des opposants socialistes qui, parce qu’ils partagent certaines de ses convictions, sont alors bien en peine de lui tirer dessus à boulets rouges.

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