Union pour le Renouveau
de Versailles



Message aux Versaillais de l'Ambassadeur Albert Chambon

A Versailles, le 28 février 2001

Chère Madame, cher Monsieur,

Si, à l’approche des élections municipales, nombre de nos compatriotes semblent chercher un homme providentiel susceptible de diriger leur Ville, les Versaillais, eux, paraissent avoir fait leur choix.

Leur homme providentiel est Henry de Lesquen.

En effet, il représente aujourd’hui tout ce qu’il faut pour obtenir la confiance de l’ensemble de la population de cette grande ville historique où nous habitons.

Les Versaillais de vieille souche aiment à voir en lui quelqu’un qui a toujours vécu à Versailles, et qui y a fait toutes ses études, avant d’entrer brillamment à Polytechnique. Il est ensuite entré à l’E.N.A., muni en outre d’une licence de sciences économiques. Il a alors épousé Maud de Villèle, une artiste-peintre aussi intelligente qu’avenante, qui est à même de le seconder précieusement en politique. Père de cinq enfants, Henry de Lesquen est particulièrement averti des questions d’éducation et, s’il est naturellement d’un caractère bienveillant, il est néanmoins fort lucide lorsqu’il s’agit des problèmes de formation de la jeunesse.

Quant à ceux que l’on appelle les “nouveaux Versaillais”, c’est-à-dire tous ces hommes et ces femmes qui, au cours des dernières années, sont venus s’installer dans l’ancienne ville royale, ils considèrent, de leur côté, Henry de Lesquen comme un candidat providentiel. Ils voient surtout en lui l’homme moderne, dynamique, entreprenant, opiniâtre, qui a fondé naguère le “Club de l’Horloge”, dont il est resté le Président. Ils voient aussi en lui, non sans raison, un homme particulièrement averti de la vie politique - le “Club de l’Horloge” fait aujourd’hui autorité dans toute la France -, mais en même temps un homme resté libre et indépendant, dont le souci principal a toujours été l’intérêt du pays et qui, pour cette raison, a gardé des amitiés dans les divers partis politiques. Enfin, un homme d’une grande autorité, mais sans sectarisme.

Pour les jeunes générations, Henry de Lesquen représente, de même, un homme providentiel, puisqu’il n’est inféodé à aucune coterie et se tient constamment à leur écoute. Très jeune de caractère, il est bien informé des problèmes des jeunes et obtient naturellement leur confiance.

Enfin, il faut bien dire aussi que, s’il est l’homme providentiel pour tous, c’est parce que ce même Henry de Lesquen est un très haut fonctionnaire parfaitement averti des questions économiques et financières.

Personnellement, comme ancien Ambassadeur de France, je vois dans le geste de Henry de Lesquen le geste courageux d’un homme de bien et de devoir, attaché à l’intérêt de la nation. Au moment où le monde politique est, non sans raison, totalement discrédité par ses innombrables scandales, et aussi, il faut bien le dire, par sa veulerie, il n’est que temps, si nous ne voulons pas assister au naufrage de la France, que des hommes comme lui s’intéressent à la “chose publique”.

Notre pays est aujourd’hui l’exemple vivant du “poisson qui pourrit par la tête” : le peuple français, dans son ensemble, est resté un peuple sain, un peuple admirable, héroïque et glorieux. Le Renouveau de Versailles devrait être l’aube d’un Renouveau pour toute la France, puisque ce seront d’autres hommes que ceux qui sont aujourd’hui discrédités qui prendront en main le destin de notre pays.

Albert Chambon

Ancien ambassadeur de France, ancien Résistant déporté à Buchenwald, Grand-Officier de la Légion d’Honneur, président d’honneur de l’Association des Ecrivains Combattants.



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